30/09/2016

À lire ce week-end – semaine du 26 septembre 2016

Chaque semaine, on vous partage le top 5 du contenu qui a attiré notre attention ici et ailleurs. Voici les incontournables de la semaine du 26 septembre 2016.

Sur quelles plateformes communiquent les amoureux?
L’amour est-il possible sans Facebook, Twitter et Snapchat? Selon le niveau d’affection de ses utilisateurs, certains réseaux sociaux seraient plus propices que d’autres à la romance. On se servirait de Twitter et Snapchat pour flirter, de Facebook ou Skype pour les relations un peu plus sérieuses… Qu’est-ce qui détermine le canal approprié pour communiquer avec son amoureux?
À lire dans Rue 89 Pocket

Devenir stagiaire à 70 ans
À la retraite, plusieurs rêvent de voyager sans arrêt ou de finalement entreprendre les projets qui ont envahi leurs pensées pendant des années. D’autres, comme Paul Critchlow, deviennent stagiaires chez Pfizer à 70 ans. Conseiller pour l’été, le vétéran fait du film The Intern une réalité: son stage est un grand succès. Pourquoi autant de compagnies hésitent-elles encore à profiter de la sagesse des retraités?
À lire dans Fast Company Pocket

«Craquer» le code des best-sellers
Chaque année, de nombreux romans sont publiés, mais très peu connaissent un succès populaire. Comment expliquer l’engouement pour les œuvres de Stieg Larsson et Dan Brown? Est-il possible de prévoir les best-sellers? Jodie Archer et Matthew L. Jockers ont compilé et analysé près de 20 000 romans contemporains de tout genre, ce qui leur a permis de définir un algorithme pouvant déterminer à 90% le potentiel commercial des œuvres littéraires.
À lire dans The Walrus Pocket

You used to call me
Selon Nielsen, l’appel téléphonique est mort à l’automne 2007 (R.I.P.) lorsque le nombre de SMS envoyés en moyenne par mois dépassa le nombre d’appels effectués. C’est alors à ce moment que tout a changé: les appels téléphoniques devinrent synonymes d’invasion de nos vies privées. Qu’avons-nous perdu en condamnant le coup de fil?
À lire dans Slate Pocket

La recette de Monocle
Le magazine Monocle est né à la suite d’une constatation du Canadien Tyler Brûlé au kiosque à journaux d’un aéroport. Alors qu’il hésitait entre acheter une copie de The Economist ou de GQ, il s’est demandé pourquoi une publication combinant lifestyle et affaires n’existait pas. Depuis, chaque édition du magazine offre un tirage d’environ 80 000 copies. À l’heure où le contenu est de plus en plus numérique et spécialisé, qu’est-ce qui explique l’intérêt des lecteurs pour ce mensuel?
À lire dans The Point Pocket

Dans vos oreilles: The Things That Make Us
Bidules de tous les jours ou objets fétiches: comment ces choses nous définissent-elles? Zoe Laughlin, directrice du Institute of Making, anime une série de baladodiffusions qui cherchent à décortiquer la manière dont certains objets ont formé l’identité de ses invités.

Coup de cœur
Que faire des photos rejetées d’inconnus? Un album numérique, évidemment. Le photographe Thibaut Kinder est l’auteur d’Exhumed Photographs, un blogue qu’il dédie aux clichés oubliés sur de vieilles cartes mémoire qu’il déniche dans des marchés aux puces et des magasins électroniques de seconde main. Il n’y a pas plus hipster que ça!

Stéphanie Lebon
Stéphanie Lebon
Chef de marque
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